ViEs
Et PrATiQuEs AlTeRNaTiVeS
Le choix de vivre différement
<<<(((xxx)))>>>
Cette
page vous propose de lire et de découvrir des tracts et
brochures très intéressantes sur le thème
des luttes qui tentent de développer des alternatives concrètes
et intéressantes...
Vous trouverez tous ces textes et toutes ces brochures, ainsi
que beaucoup d'autres, à commander sur la page DiStRo
de ce site... Une page est à votre disposition pour
télécharger des AuToCoLLaNtS
sur tous ces sujets...
Tous les textes présents sur ce site sont FéMiNiSé
lors de leur écriture ou lors de leur copie... Pour avoir
plus d'infos sur la FéMiNiSaTiOn
c'est iCi...
Bonne lecture !!!
<<<(((xxx)))>>>
Remarques au sujet de cette
page...
Beaucoup
de personnes qui visitent ce site nous disent trouver dans ses
pages énormément de critiques intéressantes
concernant notre société ainsi que de multiples
remises en cause des principes qui la compose, ... mais qu'en
retour nous ne proposons pas grande chose comme "solutions"
à toutes les dominations, exploitations, ...
Bien que je pense que ce ne soit pas réellement le cas
- puisqu'une remise en cause théorique du sexisme par exemple
propose inévitablement une alternative concrète
à cette domination : tenter de ne plus être sexiste
- nous allons tenter ici de répondre en partie à
cette demande. Cette page propose de lire des textes et de visiter
des sites intéressants qui remettent en cause de façon
pratique et proposent des alternatives concrètes à
la société capitaliste dans laquelle nous vivons.
Il est important de signaler néanmoins que ces "solutions"
n'existent pas clef-en-main et que c'est grâce à
une remise en cause personnelle - et collective - liée
à une véritable envie de changer son mode de vie
et ses comportements que l'on trouve ces "solutions"...
En espérant que ces propositions vous apporteront quelques
réponses intéressantes...
<<<(((xxx)))>>>
<<<(((xxx)))>>>
Introduction...
Notre société capitalo-patriarcale nous impose des
modèles et des normes qui ont valeur de loi dans l'esprit
de ceux et celles qui les édictent aussi bien que dans
l'esprit de celles et ceux qui s'y plient... Ces lois - écrites
ou non - sont le plus souvent issues de logiques capitalistes,
sexistes, spécistes
et toujours basées sur des principes de hiérarchisation
et de domination...
Notre vie - celle que l'on nous vend comme socialement acceptable
- est basée sur des modèles figés correspondants
à notre sexe, notre couleur de peau, notre niveau social,
... C'est une vie "clé-en-main" où nos
choix et nos envies ne sont que le fruit de campagnes commerciales
et politiciennes... Et il est bien évidemment interdit
de remettre en cause cette vie parfaite que l'on nous sert chaque
jour à la télé, dans la publicité,
les journaux, et qui se trouve relié par des structures
telles que la famille, le travail, etc...

Construire
une vie alternative revient à remettre en cause ces principes
arbitraires et autoritaires et à tout poser à plat
une bonne fois... Pour cela il est important de démistifier
cette vie "clé-en-main" pour pouvoir avoir le
courage et la possibilité de la mettre en balance avec
des types de vies alternatives... Vient alors le moment de se
poser la question de savoir qu'est-ce qui serait mieux pour nous,
les autres et notre monde...
Car construire une alternative revient à remettre en cause
et à lutter contre la société dans laquelle
nous vivons qui se présente ou s'impose comme le seul type
de civilisation acceptable... Pour cela il est indispensable de
remettre en cause notre rapport à cette société,
à la consommation et aux dominations diverses sur lesquelles
elle se base... Il s'agit de critiquer avec honneteté et
logique le système pour ensuite le pirater, le détourner
et - à terme - le détruire...
Ainsi le fait de vivre en squat est une alternative - entre autre
- à la société marchande et au commerce du
logement, le fait de vivre en communauté une tentative
- entre autre - de remise en cause de notre société
individualiste, le fait d'être vegan une remise en cause
- entre autre - de la société spéciste dans
laquelle nous vivons qui base son système d'existence sur
l'exploitation des autres espèces... Et ce ne sont que
des exemples parmis tant d'autres...
Beaucoup de personnes tentent de développer des alternatives
individuelles ou collectives, de remettre en cause l'un des aspects
de notre société ou un grand nombre à la
fois... Pourtant personne n'en entend parler et le silence plâne
sur ces recherches parce qu'elles ne font pas de publicité,
qu'elles ne sont pas là pour faire de l'argent, exploiter
et/ou accéder au pouvoir...
Refusez de vivre comme on vous ordonne de le faire et ayez
le courage de remettre en cause la société autoproclamée
parfaite que l'on nous sert sur un plateau d'argent en nous pointant
un pistolet dans le dos !!!
Le monde capitaliste dans lequel nous vivons n'a rien a voir avec
ce qu'on veux bien nous montrer et notre seule alternative est
de le remettre en cause et de le détruire pour reconstruire
un monde où tous et toutes aurons une place...
Hugh!
^
<<<(((xxx)))>>>
Mettez des fleurs
dans votre moteur !
Info trouvée dans la revue Passerelle Eco numéro
11 - Hiver 03.
Site internet : http://www.passerelleeco.info
Texte FéMiNiSé
par nos soins...
Note : Ce texte est intéressant
car il aborde les aspects financiers, techniques et politiques
qui amène de plus en plus de personnes à rouler
à l'huile de tournesol. Il présente une association
- Roule ma Fleur - qui a monté une coopérative pour
acheter une presse en commun et qui propose de produire de manière
écologique et alternative son huile pour l'année.
 |
x |
Comment
ça roule ?
Tous les moteurs diesel peuvent fonctionner avec cette huile
comme carburant, mélangée ou non à du
gasoil. Pour rouler avec un mélange à plus de
50% d'huile, il faut confier le véhicule à un
garagiste (prévoir une facture d'environ 500 Euros)
ou faire soi-même une petite modification.
Du grain au tourteau...
La fabrication de l'huile se fait en trois étapes :
à partir de 1500 kg de graines, la tritureuse extrait
500 litres et rejette des tourteaux. Ces tourteaux ne sont
pas perdus puisqu'ils peuvent ensuite servir pour l'alimentation
animale ou pour la construction (à la manière
de la paille ou du chanvre). |
Ensuite
cette huile est décantée, puis filtrée. Elle
peut alors être utilisée.
L'association...
Au début, les personnes motivées par ce projet se
sont posées la question suivante : "Est-ce qu'on achète
une petite presse pour nous, ou bien on en parle autour de nous
et on en prend une plus grosse avec tou-te-s les voisin-e-s qui
en ont envie ?"
C'est cette deuxième option qui a été choisie
et qui a conduit à la création de Roule Ma Fleur.
Une quarantaine de personnes ont pris une part de 150 Euros et
avec des prêts pour compléter, l'association a acquis
un modèle de moyenne puissance qui coûte un peu plus
de 10 000 Euros. Enfin, un ami a offert sa remorque pour transporter
la presse chez les adhérent-e-s.
Cet automne, les premières triturations ont eu lieu et
des démonstrations lors de fêtes et réunions,
comme la rencontre Relier sur le Larzac, ont permis de découvrir
l'engin en marche. A l'heure actuelle, il faut encore mettre au
point le moteur d'entraînement qui, initialement, était
mal adapté. C'est une question de quelques semaines.
C'est écologique !
Le carburant tournesol est très pertinent aujourd'hui avec
l'impératif de réduire les gaz à effet de
serre. En effet, le bilan CO2 de la production et de l'usage est
à peu près nul. Pourquoi ? La raison est simple
: Tandis que le pétrole brulé libère dans
l'atmosphère du carbone qui a été stocké
hors circuit depuis des millions d'années, au contraire,
avec le tournesol, le gaz libéré était déjà
dans l'atmosphère l'année précédente,
la plante s'en est nourrie pour grandir. Il n'y a pas d'accroissement
de la quantité de CO2 dans l'atmosphère. Par ailleurs,
la combustion de l'huile de tournesol dégage moins de particules
nocives que le diesel.
 |
x |
Une
fleur pour décrocher le pétrole...
Actuellement, la domination exercée par nos pays
sur les pays producteurs de pétrole nous assure de
l'essence bon marché, au prix d'un petit massacre
en Irak de temps en temps, et de l'esclavage en Birmanie
pour faire passer un oléoduc... Dès lors,
rouler avec "des fleurs dans son moteur" est une
issue éthique qui permet de ne plus dépendre
des grosses compagnies pétrolières, de leurs
magouilles, de leurs supertankers compétitifs avec
marées noires complices.
A la place, le carburant tournesol propose un nouveau marché
pour les agriculteurs et agricultrices . On peut rêver
que chaque région ou village ait ses champs de tournesol
et un circuit court pour relier l'agriculteur et/ou l'agricultrice
au conducteur et à la conductrice : c'est ainsi que
depuis trois |
ans
déjà, l'écovillage de Zegg - http://www.zegg.de
- en Allemagne propose à ses résident-e-s et à
ses voisin-ne-s une station à l'huile de tournesol pressé
à froid. 7 voitures y puisent actuellement leur carburant
au prix de 1/2 Euro le litre. Pour des trajets plus longs, les
voitures peuvent faire le plein de diesel comme avant, ou préférer
l'huile alimentaire bon marché des grandes surfaces !
Des obstacles à la commercialisation...
L'huile
végétale brute devrait échapper à
la TIPP (Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers)
puisque non issue du pétrole. N'empêche que des industriels
voient ainsi une juteuse filière leur échapper et
l'état une taxe en moins. Et alors qu'en Allemagne et en
Belgique le filière huile brute est encouragée par
l'état, en France, la société Valenergol
- http://www.valenergol.com
- qui en produisait et en commercialisait doit faire face à
un procès, actuellement porté devant la juridiction
européenne (avis aux juristes : Valenergol lance un appel
à conseil et analyse experte du dossier). Toutefois, rouler
au tournesol n'est pas interdit, et Roule ma Flleur, qui ne commercialise
pas d'huile, n'est pas menacée.
Le tournesol est une alternative au pétrole parmis d'autres.
Ce n'est pas la panacée, mais ce qui est sûr, c'est
qu'il faut développer les alternatives au pétrole.
Pour vous, lecteur et lectrice, il est encore possible de rallier
le projet si vous habitez la région de Florac ou si vous
pouvez vous déplacer pour faire votre huile et le plein
une fois par an.
Pour en savoir plus :
Brochure : "Rouler à l'huile de tournesol".
Edité par Roule ma fleur - 48220 Fraissinet de Lozère.
Site internet : http://www.roulemafleur.org
^
<<<(((xxx)))>>>
Appel
à contribution :
Les pratiques économiques radicales
Salut
à vous
Nous
sommes un certain nombre de gens à nous engager dans des
luttes
sociales, libertaires, révolutionnaires, contre le système
économique capitaliste. Nous sommes un certain nombre,
parmi ce nombre, à considérer que ces luttes vont
de pair avec des constructions concrètes et quotidiennes
d'alternatives à ce système. Et, notamment, avec
des expérimentations de logiques d'échange différentes,
en opposition aux principes de profit, d'accumulation, de méfiance,
d'exploitation, de consommation, qui bouffent notre société.
Cet appel à contribution voudrait faire le point, ou faire
un point, précisément sur ces
expérimentations, et sur les débats qui tournent
autour. Comment faisons-nous pour libérer nos vies des
carcans du capitalisme ? Comment faisons-nous pour nous désinsérer
de ses mécaniques, pour contribuer à les détruire
?
Le
sujet est large. Il pourrait déjà être divisé
en trois parties. La première concernerait nos moyens de
subsistance, dont le sens peut dépasser la simple débrouille.
Comment faisons-nous pour survivre sans être esclaves du
marché, ou en l'étant le moins possible ? Trouvons-nous
le salariat acceptable, acceptable de temps à autre, ou
inacceptable ? Choisissons-nous, tant qu'à gagner de l'argent,
de vivre de nos activités aimées, par exemple de
notre engagement politique (libraires, permanent-e-s dans des
associations, etc.) ? Ou nous semble-t-il contradictoire et coercitif
d'adapter ces activités aux exigences du marché,
du salariat ? Si nous rejetons le travail, de quoi vivons-nous
à côté ? Considérons-nous le R.M.I.
et ses acolytes comme des programmes d'assistanat à pirater,
ou comme des compromissions à même de nous endormir
? La récup est-elle une pratique subversive en tant qu'elle
profite du gaspillage inhérent au capitalisme, ou nous
confine-t-elle finalement dans une certaine dépendance,
dans un profil bas devant le système, dont nous nous contentons
des miettes ? Le vol est-il une légitime défense
face au capitalisme, ou même une forme d'offensive ? Ou
ne l'atteint-il aucunement, rejoint-il même un principe
de consommation ? Quelles astuces trouvons-nous pour éviter
d'acheter ce dont nous avons besoin ? Redéfinir dès
maintenant ses besoins matériels à la baisse, est-ce
un cheminement vers une conscience écologique et sociale
? Vers une capacité de répondre nous-mêmes
à ces besoins, de casser notre dépendance à
un appareil de production aliénant ? Ou est-ce une abdication
devant une société qui produit de l'abondance, qui
l'étale devant nous en même temps qu'elle nous l'interdit
? Et qu'en est-il de labourer la terre, de chercher l'autonomie
alimentaire, énergétique, etc. ? Cette autonomie
est-elle à portée de main dès aujourd?hui
? Ou nécessite-t-elle un tel effort qu'elle nous ramène
à des logiques de travail, de spécialisation,
qu'elle accapare nos forces et notre temps sans leur laisser d'autres
activités ? Bref, salariat, assistanat, récup, vol,
auto-subsistance, lesquelles oui, lesquelles pas trop, pourquoi
et comment, et quelle articulation trouve-t-on entre les unes
et les autres ? Quels moyens de subsistance nous semblent amener
le plus de liberté et de cohérence ? Lesquels supportons-nous,
lesquels refusons-nous, lesquels construisons-nous ?
Voilà
pour l'une des deux parties. L'autre pourrait concerner les différents
modes d'échange que nous tentons et construisons concrètement
dans nos relations. Quelles logiques appliquons-nous en réaction,
en création, face aux rapports marchands ? Parvenons-nous
à construire d'autres logiques d'échange, déjà
entre gens de sensibilité politique proche et radicale
? La vente directe (d'agriculteurice à mangeureuse) est-elle
déjà une pratique radicale dans la mesure où
elle court-circuite le maillon et le rôle du marchand ?
Qu'est-ce que l'argent ? Est-il un outil utilisable à des
fins révolutionnaires ? Ou porte-t-il en lui-même
une logique économique qui contredit et affaiblit nos projets
et nos constructions ? Comment brassons-nous l'argent ? Arrivons-nous
à nous en passer complètement ? Quand il nous en
faut, où allons-nous le chercher, et comment ? Par exemple,
préférons-nous instituer un prix fixe ou un prix
libre ? Le prix libre marche-t-il dans telle ou telle circonstance,
son sens politique est-il compris par le " public "
? Arrive-t-il à casser les velléités consommatrices
? La gratuité va-t-elle plus loin dans la remise en cause
des logiques capitalistes ? Comment, avec qui l'appliquons-nous,
sur quels types d'échanges ? Tenons-nous une comptabilité
de nos coups de main les un-e-s aux autres ? Si oui, pourquoi
? Si non, les choses marchent-elles sans à coups, sans
rancunes ? Avons-nous besoin de reconnaissance comme salaire minimum
de nos services mutuels ? Comment gérons-nous et échangeons-nous
notre activité (notre travail ?) dans les collectifs ?
Le principe du don arrive-t-il à se
généraliser, ou celles/ceux qui donnent sont-illes
condamné-e-s à n'être que des bonnes poires,
même dans "nos" milieux ? Les espaces de gratuité,
les bourses aux vêtements gratuits, fonctionnent-ils ?
Il
pourrait enfin y avoir une troisième partie, qui se centrerait
sur les questions de l'individualisation ou de la collectivisation
des biens. Dans une maison collective, comment gérons-nous
l'argent ? Quel système de participation financière
à la vie collective choisissons-nous d'appliquer ? Un système
de cotisations fixes, ou libres, ou proportionnelles aux moyens
de chacun-e ? Que faisons-nous quand il y a des inégalités
économiques entre les habitant-e-s ? L'argent reste-t-il
une affaire intime, privée, individuelle, inter-individuelle
? Ou le collectif s'en mêle-t-il en tant que collectif,
aide-t-il financièrement l'individu en son sein, collectivise-t-il
l'argent gagné individuellement, gagne-t-il de
l'argent collectivement ? Qu'est-ce qui freine nos démarches
collectives
sur ce plan ? Arrive-t-il que des comportements soient taxés
de parasites
? Quand, pourquoi ? Et comment dépensons-nous l'argent
collectif ? Comment
arrivons-nous à distinguer les besoins collectifs, qui
mériteront des dépenses collectives, et les besoins
qui devront être assumés individuellement ? Enfin,
comment gérons-nous les objets ? Appliquons-nous l'idée
de la propriété d'usage ? Collectivisons-nous tout
ce que nous pouvons ? Que deviennent les objets collectivisés
: y apportons-nous autant de soin qu'à nos biens personnels
? Quels rapports entretenons-nous avec nos biens, nos créations,
nos écrits, comment sortons-nous de la propriété
privée, de la propriété intellectuelle ?
Toutes ces questions paraissent sans doutes énormes et
nombreuses. Mais
comme elles sont toutes liées, comme notre approche anticapitaliste
se veut globale, il était important de les réunir
ici, et encore, sans doute beaucoup ont été oubliées
(rajoutez-en !). Peut-être faudra-t-il plus d'une brochure,
ou plus de dix, pour couvrir tous les sujets proposés.
Peu importe : lançons-nous, allons-y comme nous pouvons,
répondons à une seule question si elle nous inspire,
ce sera déjà bien... Ecrivons seul-e-s ou à
plusieurs, après débat ou sondage dans notre collectif,
comme il nous plaira. Ecrivons par mots ou par bulles, amusons-nous.
Signons ou ne signons pas, simplement oublions tout copyright.
On peut même envoyer des documents dénichés
loin de chez nous, pondus par d'autres gens. Envoyons des plaidoyers
et des grandes théories si nous le voulons, mais n'oublions
pas que ce qui peut être intéressant ici, c'est la
confrontation avec la pratique et le quotidien : nos grandes théories
économiques, comment les appliquons-nous, y arrivons-nous,
où pêchent-elles, qu'est-ce qui nous manque pour
les atteindre, ou pour les enfreindre ? Une échéance
?... Décembre 2002, ça ira ?
Appel
à contribution autour des pratiques économiques
radicales
Iosk éditions / Squat des 400 Couverts / 10 traverse des
400 Couverts
38000 Grenoble - e-mail : iosk@inventati.org
^
<<<(((xxx)))>>>
Liens intéressants...
Pour soumettre
un site une adresse : teknorevolt@no-log.org
Nouveau : 6clones
6clones, la vision autonome.
Site sur le biocarburant, l’écologie et les alternatives.
- Le site du Réseau Français des Ecovillages
Actualités, idées et infos sur le réseau.
- Le site de Roule ma Fleur.
Coopérative écologique pour rouler à l'huile
de tournesol.
Brochure explicative très complète sur le sujet.
- Le
site de la revue Passerelle Eco.
"Pratiques et Contacts pour Vivre sur une Même Planète".
Infos alternatives, éco-villages, écologie radicale.
- No-Log.org
Adresses e-mail gratuites et anonymes.
Hébergeur associatif très intéressant.
- Site des CarBusters (UK)
Lutte contre la suprématie de la voiture.
Organisation du jour sans voiture.
- [Squat!net]
Actualités et vie des squats de france et d'ailleurs.
Organiser la résistance face aux expulsions.
Archives, contacts, liens, etc.
- Primitivi
Média de résistance, télé
pirate.
Vidéos alternatives, actions diverse.
- La compagnie Tournesol
Ce site est celui d'une caravane d'alternatives écolo.
Vous pouvez faire rouler votre véhicule à l'huile
de tournesol !
- Le site Eco-Bio
Site très intéressant sur les alternatives écologiques.
Liens et bibliographie très intéressante.
- Réseau Sortir de Nucléaire
Réseau tentant de rétablir la vérité
sur les dangers du nucléaire.
L'état vous raconte n'importe quoi pour vendre son énergie
de mort !
Réseau très intéressant et très actif
dans toute la france.
^